retour dans la zone du tremblement de terre, un an après le séisme. Difficile de reconstruire une région ravagée en si peu de temps. Les photos parlent d’elles-mêmes.
On voit partout, en dehors du centre de Balakot par expl, des décombres. Les habitants vivent dans des abris faits de tôles, morceaux de bois, tissus.
Les autorités pakistanaises, avec l’aide de la communauté internationale, ont été efficaces pendant la période d’urgence. Mais aujourd’hui, les Cachemiri sont fatigués des belles promesses. Ils vont être près d’ 1,8 millions à passer l’hiver sous des abris, ou des tentes, parce qu’il y en a encore beaucoup.
Le seau sert à aller chercher de l’eau pour sa famille… A un puit utiliser par quelques deux cents personnes qui n’ont plus l’eau courante.